1. |
Terre Brulée
03:36
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Allez viens dans cette chaleur
Sous cette pâleur, il y a un corps
Ici encore résonne un cri défiant la mort
Allez viens, viens
Allez viens, sens cette odeur de cramé
Et sous mes airs de camé
Mon cri t’invite à l'intérieur
Allez viens, viens
Rien n’est certain, rien d'établi
L’homme emprisonne la vie
Et rien n’est pur même le beau
Tout à déterminer de nouveau
Allez viens, viens
Dans cette chaleur
Sous cette pâleur, il y a un corps...
Enflamme cette aire
Terre brulée sur mon territoire
Une tête brulée à la barre
Mon son résonnera sur la mer
Et des méninges aux viscères
Allez viens, viens
Dans cette chaleur
Sous cette pâleur, il y a un corps...
Allez viens, viens
Dans cette chaleur
Sous cette pâleur, il y a un corps...
Si tu savais les horizons
Si tu savais les perspectives
Celle que tu te construis
Que nous détruirons
Allez! Sors de ta prison
Allez! Sors...
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2. |
Stone
04:13
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La ville est lourde quand t’es trop stone
Tu ramènes ton cœur souvent à pas d’heure
Ton cœur déborde un ivre s’emporte
Dérobe à tes sens la limite l’errance
La ville est lourde quand t’es trop stone
Tu ramènes ton cœur souvent à pas d’heure
Ton cœur déborde un ivre s’emporte
Dérobe à tes sens la limite l’errance
Quand t’es stone, quand t’es stone
Te souviens tu que rien ne bouge
Quand t’es stone, quand t’es stone
Tu t’oublis dans ses yeux rouges
Quand t’es stone, quand t’es stone, quand t’es stone!
La ville est sourde quand t’es trop stone
Tu promènes ton zob à travers les clubs
Ton sang est sueur, ta sueur mon sens
L’extase des formes les faibles dorment
La ville est sourde quand t’es trop stone
Tu promènes ton zob à travers les clubs
Ton sang est sueur, ta sueur mon sens
L’extase des formes les faibles dorment
Quand t’es stone, quand t’es stone
Tu souviens tu que rien ne bouge
Quand t’es stone, quand t’es stone
Tu t’oublis dans ses yeux rouges
Quand t’es stone, quand t’es stone, quand t’es stone!
Radio minuit
Tension des fils
Vingt-quatre en fuite
Mirage dehors
Rivage au corps
Aux cernes denses
Je danse encore
Embrun saphir
L’écho m’attire la peau des mots
Stone, quand t’es stone, quand t’es stone, quand t’es stone…
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3. |
A Qui Le Tour?
03:33
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Ma main déserte,
Les rivages que tu dessers
Je véhicule l'automatisme,
Sur tes cotes et sur ton flanc
Système nerveux, voyage panique
Dans les caves ma belle on nage, on rame, on vague à l'âme
J’oublierais volontiers
Mes bras déserte, ma tête mes nerfs
Horizon cataleptique, du métal et du latex
Chaires vannées, j’oublierais volontiers
Ces amours à la chaine
Ces usines qui ferment
J’oublierais volontiers
Je survis du lit au turbin et du turbin au lit
Il faudra bien qu’j’éclate,
Ou bien qu’j’explose
Je ravale, j'implose
A qui le tour, à qui le tour
A qui le tour, à qui le tour
A qui le tour, à qui le tour
Pantomime technocrates
La cravache, la cravate
Et la forme à quatre pattes
Un chien en chaîne
Pour une mort à crédit
A qui le tour, à qui le tour
A qui le tour, à qui le tour
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4. |
Drugs
04:16
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Dans l'abime de ma rétine entre mes cils ton charme scintille
Mes doigts tremblants déraillent en fine blanche
Tu m'échappes que des flashs
Every time I want try try try
Every time I want try try try
Why did you drug me again!
Why did you drug me again!
You drug me again you drug me, ha! You drug me, ha! You drug me, ha!
You drug me again you drug me, ha! You drug me, ha!
Ta bouche noie mes baisers flous anesthésie du front au cou
Ange au parfum dense des Andes
Inspiré qu'à méditer
Le coït échappe doucement
Ton chant sous la lune...
Every time I want try try try
Every time I want try try try
Why did you drug me again!
Why did you drug me again!
You drug me again you drug me, ha! You drug me, ha! You drug me, ha!
You drug me again you drug me, ha! You drug me, ha!
Ensorcelle l'âme en pris à souhait
Ensorcelle l'âme en pris à souhait...
You drug me again, you drug me again, ha!
You drug me again, you drug me again, ha!
You drug me, ha! You drug me again!
You drug me, ha! You drug me, ha! You drug me again!
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5. |
Marie
04:34
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Marie sans faim
enfreint d'une main la loi le silence
Aux cernes denses, danse et danse encore
A courir sans fin, après sa faim, va crever comme un chien
L'antistar plante un poignard qui boit ton sourire
L'antistar plante un poignard qui boit ton sourire
Qui fuit sans dire... qui fuit sans dire.... qui fuit sans dire...
As your smile! As your tears!
As your smile! As your tears!
As your smile! As your tears!
Glissante, tombante, ta pierre tel un mirage
Vers ces sombres rivages
Fonde les peaux, les maux
Crache tes dents, attends l'absence, la mort
Les planchers te parlent, les couloirs s'affalent
Garde l'élan prend, un instant, perdu dans tes paupières...
Garde l'élan prend, un instant, perdu dans tes paupières...
Qui fuit sans dire... qui fuit sans dire.... qui fuit sans dire...
As your smile! As your tears!
As your smile! As your tears!
As your smile! As your tears!
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6. |
Interlude
03:10
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Absent inactif mais vivant
Des funambules rassurés tendant vers l’infini des idylles aux cœurs
Etendus tendus survécus
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7. |
Un Flingue, Une Balle
03:16
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J’ai un flingue, j’ai une balle
J'ai un flingue j'ai une balle
Un flingue un stylo
J'avais un love, j'avais les brumes
J'étais un homme mais pas les burnes
J'aurais tiré au hasard
J'aurais tiré sur mon père
Esclave mental, esclave mental
J'aurais perdu, j’aurais désert
J'aurais pu tromper, j'aurais eu un troupeau
J'aurais pu dicter, j'aurais pu dicton
J'aurais pu pouvoir, j'aurais pu femme
Mais je n'aurai plus ni corps ni âme
Esclave mental, esclave mental
Esclave mental, esclave mental
Esclave mental, esclave mental, un flingue une balle, un flingue une balle
Esclave mental, esclave mental, un flingue une balle, un flingue une balle
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Vostok Paris, France
Rock indé français inconnu et à tendance noisy parce qu'on aime bien les étiquettes à rallonge qui veulent rien dire.
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